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Ces femmes, compagnons de l’indépendance tant négligées et ignorées

C’est en 2008 que je lis pour la première fois, quelques lignes sur les medias en ligne et la presse écrite sur le rôle de la femme dans la conquête de notre indépendance en 1958.

C’est tambours battants qu’en mars 2008, 50 ans après, le ministre de la condition féminine se souvient d’annoncer les décorations de celles de nos grandes mamans qui vivent encore… Des cérémonies controversées car des personnes accusées à tord ou à raison de n’avoir rien fait pour la Guinée ont reçu du gouvernement des décorations. Entre nous en 50 ans, combien sont mortes dans l’anonymat, dans la misère et surtout sans la moindre reconnaissance ou même pension. Et grave personne ne fait des soucis pour cette énorme perte de témoignages réels et réaliste pour l’histoire de notre pays.

Cette fois, nous n’allons pas accuser les hommes car nous avons aussi le devoir de nous identifier à ses icônes, célébrité e leur rendant hommage au quotidien.

Nous devons, pour ceux qui ne le pense pas encore, organiser chaque fois, chaque jour mois et années des meetings, symposiums, comités etc.. Pourparlers de ces vaillantes combattantes.

Nous allons nous engager pour contraindre les pouvoirs politiques afin que les écoles publiques, les hôpitaux, les lycées, université, place, rue et boulevard portent leur noms.

Et pour finir, je partage avec vous 4 noms que j’ai pu trouver dans le net. :

– Hadja Mariama Dubréka Camara,

– Fatoumata Doubaya Camara

– Hadja hadiatou Sow

– Nabbaya

Si vous connaissez l’histoire complète ou même partielle d’un de ses femmes ou d’une autre vallainte combattante et non tout simplement compagnon ( je trouve ce mot reducteur) prière de nous envoyer des articles et photos.

Que la guinée reste benie

Nenette

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